Le président Ahmadinejad a eu le mot juste : le prétendu « Holocauste » des juifs est un « mythe », c’est-à-dire une croyance entretenue par la crédulité ou l’ignorance.En France, il est parfaitement licite de proclamer qu’on ne croit pas en Dieu mais il est interdit de dire qu’on ne croit pas en l’ « Holocauste », ou simplement qu’on en doute. Cette interdiction de toute espèce de contestation est devenue formelle et officielle avec la loi du 13 juillet 1990. Ladite loi a été publiée au Journal officiel de la République française le lendemain, c’est-à-dire le 14 juillet, jour de commémoration de la République et de la Liberté. Elle prononce que la peine peut aller jusqu’à un an de prison et une amende de 45 000 euros ; mais est également possible la condamnation au versement de dommages-intérêts et de considérables frais de publications judiciaires. La jurisprudence précise que tout cela s’applique « même si [cette contestation] est présentée sous une forme déguisée ou dubitative ou par voie d’insinuation » (Code pénal, Paris, Dalloz, 2006, p. 2059). La France n’a donc qu’un mythe officiel, celui de l’« Holocauste », et ne connaît qu’un blasphème, celui qui outrage l’« Holocauste ».
Personnellement, le 11 juillet 2006, j’ai été une fois de plus assigné en justice devant un tribunal de Paris sur le fondement de cette loi spéciale. Le président du tribunal qui allait me juger, Nicolas Bonnal, avait suivi un stage de formation à la répression du révisionnisme sur Internet, un stage organisé par le Centre Simon Wiesenthal de Paris sous l’égide du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) ! Dans un communiqué triomphalement intitulé : « Le CRIF partie active de la formation des magistrats européens », cet organisme juif, dont le pouvoir politique est exorbitant, n’avait pas craint d’annoncer urbi et orbi qu’il comptait Nicolas Bonnal parmi ses élèves ou stagiaires (<http://www.crif.org/?page=articles_display/detail&aid=7222&artyd=2&stinfo=297.376.1467>). Ce n’est pas tout. A mon procès, pour faire bonne mesure, la procureuse de la République s’est trouvée être une juive du nom d’Anne de Fontette ; dans la péroraison de son réquisitoire, cette dernière, bien que censée parler au nom d’un Etat laïc, en a appelé à la vengeance de « Yahweh, protecteur de son peuple élu » contre « les lèvres fausses » de Faurisson, coupable d’avoir accordé un entretien téléphonique de caractère révisionniste à une station de radio-télévision iranienne, Sahar 1.
Les conclusions de la recherche révisionniste
Les Allemands du Troisième Reich ont voulu extirper les juifs d’Europe mais non les exterminer. Ils ont souhaité « une solution finale territoriale de la question juive » et non pas une « solution finale » au sens d’une quelconque suppression physique (souhaiter une « solution finale du chômage », ce n’est pas vouloir la mort des chômeurs). Les Allemands ont eu des camps de concentration mais non des « camps d’extermination » (expression forgée par la propagande alliée). Ils ont utilisé des chambres à gaz de désinfection fonctionnant notamment avec un insecticide appelé Zyklon B (à base d’acide cyanhydrique) mais ils n’ont jamais eu de chambres à gaz homicides ou de camions à gaz homicides. Ils ont utilisé des fours crématoires pour l’incinération de cadavres et non pour y enfourner des êtres vivants. Après la guerre, les photographies dites « d’atrocités nazies » nous montraient soit des malades, soit des mourants, soit des morts mais non des tués. A cause du blocus des Alliés, à cause de leurs bombardements généralisés et à cause de l’apocalypse vécue par l’Allemagne à la fin d’un conflit de près de six années, la famine et les épidémies, notamment de typhus, avaient ravagé le pays et, en particulier, les camps de l’ouest surpeuplés par l’arrivée massive des détenus évacués des camps de l’est et privés de nourriture, de médicaments et du Zyklon B nécessaire à la protection contre le typhus.
Dans cette boucherie qu’est une guerre, on souffre. Dans une guerre moderne, les civils des nations belligérantes souffrent parfois autant, sinon plus, que les soldats. Durant le conflit qui, de 1933 à 1945, les a opposés aux Allemands, les juifs européens ont donc eu à souffrir mais infiniment moins qu’ils n’osent l’affirmer avec aplomb. Certes, les Allemands les ont traités comme une minorité hostile ou dangereuse (il y avait des raisons à cela) et contre ces gens les autorités du IIIe Reich ont été amenées à prendre, à cause de la guerre, des mesures, de plus en plus coercitives, de police ou de sécurité militaire. Dans certains cas, ces mesures sont allées jusqu’à la mise en camps d’internement ou bien jusqu’à la déportation vers des camps de concentration ou de travail forcé.Parfoisdes juifs ont été exécutés pour sabotage, pour espionnage, pour terrorisme et, surtout, pour activités de guérilla en faveur des Alliés, principalement sur le front russe mais non pour la simple raison qu’ils étaient juifs. Jamais Hitler n’a ordonné ou permis qu’on tue une personne en raison de sa race ou de sa religion. Quant au chiffre de six millions de morts juives, il est une pure invention qui n’a jamais reçu de justification malgré les efforts en ce sens de l’institut Yad Vashem de Jérusalem.
Devant les formidables accusations lancées contre l’Allemagne vaincue les révisionnistes ont dit aux accusateurs:
1) Montrez-nous un seul document qui, à votre avis, prouve que Hitler ou un quelconque national-socialiste a ordonné et planifié l’extermination physique des juifs ;
2) Montrez-nous cette arme de destruction massive qu’aurait été une chambre à gaz ; montrez-en nous une seule, à Auschwitz ou ailleurs ; et si, par hasard, vous prétendez que vous ne pouvez pas nous en montrer une parce que les Allemands auraient, selon vous, détruit « l’arme du crime », fournissez-nous au moins un dessin technique représentant l’un de ces abattoirs qui, à vous en croire, auraient été détruits par les Allemands et expliquez-nous comment cette arme aux rendements fantastiques a bien pu fonctionner sans entraîner la mort des exécutants ou de leurs aides ;
3) Expliquez-nous comment vous êtes parvenus à votre chiffre de six millions de victimes.
Or, en plus de soixante ans, les historiens-accusateurs juifs ou non juifs se sont révélés incapables d’apporter une réponse à ces trois demandes. Ils ont donc accusé sans preuves. Cela s’appelle calomnier.
Mais il y a plus grave : les révisionnistes ont énuméré une série de faits réels qui prouvent que cette extermination physique, ces chambres à gaz et ces six millions n’ont pas pu exister. 1) Le premier de ces faits est que, pendant toute la durée de la guerre, des millions de juifs européens ont vécu au vu et au su de tous, une bonne partie d’entre eux étant employés en usines par les Allemands qui manquaient cruellement de main-d’œuvre, et ces millions de juifs-là n’ont donc pas été tués. Mieux : les Allemands ont obstinément offert aux Alliés, jusque dans les derniers mois du conflit, de leur livrer autant de juifs qu’ils le souhaiteraient à la condition expresse que ce ne fût pas pour les envoyer en Palestine, et cela par égard pour « le noble et vaillant peuple arabe » déjà accablé par les colons juifs. 2) Le deuxième de ces faits, qu’on nous cache soigneusement, est que les excès éventuellement commis contre les juifs pouvaient entraîner les sanctions les plus sévères ; tuer un seul juif ou une seule juive pouvait valoir, y compris pour les soldats allemands, d’être condamné à mort par un tribunal militaire et fusillé. Autrement dit, les juifs vivant sous administration allemande continuaient, s’ils observaient les règlements en vigueur, de jouir de la protection de la loi pénale, même vis-à-vis des forces armées. 3) Le troisième de ces faits est que les prétendues chambres à gaz nazies d’Auschwitz ou d’ailleurs sont tout simplement inconcevables pour des raisons physiques ou chimiques qui sont évidentes : jamais, après le prétendu gazage au gaz cyanhydrique de centaines ou de milliers d’hommes dans un local, d’autres hommes auraient pu pénétrer dans un véritable bain de ce poison pour y manipuler et extraire tant de cadavres qui, cyanurés en surface comme en profondeur, seraient devenus intouchables. Le gaz cyanhydrique adhère fortement aux surfaces ; il pénètre même le ciment ou la brique et il est difficile à ventiler ; il pénètre la peau, il s’installe dans les corps, il se mêle aux humeurs. Aux Etats-Unis, c’est précisément ce gaz qu’on utilise encore de nos jours dans une chambre à gaz pour exécuter un condamné à mort, mais précisément cette chambre est d’acier et de verre, elle est pourvue d’une machinerie obligatoirement très compliquée et nécessite d’extraordinaires précautions d’emploi ; il suffit de voir une chambre à gaz américaine destinée à exécuter un seul individu pour se rendre compte que les prétendues chambres à gaz d’Auschwitz supposées avoir servi à exécuter des foules d’individus, jour après jour, n’ont pu ni exister ni fonctionner.
Mais alors, dira-t-on, que sont devenus tous ces juifs dont, nous, révisionnistes, nous concluons de nos recherches qu’ils n’ont jamais été tués ? La réponse est là, sous nos yeux et à la portée de tous : une partie des juifs d’Europe est morte, comme des dizaines de millions de non-juifs, du fait de la guerre, de la faim, des épidémies et une autre partie des juifs a bel et bien survécu, par millions, à la guerre. Ces derniers se sont fait abusivement appeler des « miraculés ». En 1945, les « survivants » ou les « miraculés » juifs européens se comptaient par millions et ils ont essaimé dans une cinquantaine de pays du monde, à commencer par la Palestine. Comment une prétendue décision de totale extermination physique des juifs aurait-elle pu ainsi engendrer des millions de « miraculés » juifs ? Des millions de « miraculés », ce n’est plus un miracle ; c’est un faux miracle, c’est un mensonge, c’est une fraude.
Pour ma part, j’ai, en 1980, résumé en une phrase de soixante mots français les conclusions des recherches révisionnistes :
Les prétendues chambres à gaz hitlériennes et le prétendu génocide des juifs forment un seul et même mensonge historique, qui a permis une gigantesque escroquerie politico-financière dont les principaux bénéficiaires sont l’Etat d’Israël et le sionisme international et dont les principales victimes sont le peuple allemand, mais non pas ses dirigeants, et le peuple palestinien tout entier.
Aujourd’hui, en 2006, soit vingt-six ans plus tard, je maintiens cette phrase dans son intégralité. Celle-ci ne m’était inspirée par aucune sympathie ou antipathie politique ou religieuse. Elle trouvait son fondement dans des faits avérés qu’avaient commencé de mettre au jour, d’une part, Maurice Bardèche, en 1948 et en 1950, avec ses deux livres sur le procès de Nuremberg et, d’autre part, Paul Rassinier, en 1950, en publiant Le Mensonge d’Ulysse. A partir de 1951, année après année, nos adversaires, si riches, si puissants, si acharnés à pratiquer toutes les formes possibles de répression contre le révisionnisme, se sont vus contraints de nous donner progressivement raison sur les plans technique, scientifique et historique. Les victoires remportées par le révisionnisme de la Deuxième guerre mondiale sont nombreuses et significatives, mais, il faut malheureusement le reconnaître, elles restent encore de nos jours quasi inconnues du grand public. Ces victoires, les puissants ont tout fait pour les cacher au monde. Cela se comprend : leur domination et leur partage du monde sont en quelque sorte fondés sur la religion du prétendu « Holocauste » des juifs. Mettre en cause l’« Holocauste », en dévoiler publiquement l’extraordinaire imposture, arracher leur masque aux hommes politiques, aux journalistes, aux historiens, aux universitaires, aux hommes d’églises, de clans, de chapelles qui, pendant plus de soixante ans, ont prêché le faux tout en brandissant l’anathème contre les impies, constitue une périlleuse aventure. Mais, comme on va le voir, malgré la répression, le temps semble finir par jouer en faveur des révisionnistes.