Elezioni in Venezuela

[Bart]

Domenica in Venezuela ci sono le elezioni politiche che vede candidati il presidente uscente Chavez e il candidato dell'opposizione Rosales.
Chavez è il favorito grazie anche alla sua politica per le classi disagiate ormai un modello per tutti.Negli ultimi messi le quotazioni in Borsa sono raddoppiate e gli analisti avvertono che se Chavez dovesse perdere ci sarebbero grossi problemi per il Venezuela.
L'economia cresce del 10% l'anno,da dodici trimestri consecutivi,e un regime forte ed autoritario che anche se non è ben voluta da una parte della popolazione ''NON INFILA LE MANI IN TASCA A NESSUNO''.
Offre a milioni di cittadini poveri aiuti e servizi che mai avevano visto,grazie ai prezzi del petrolio.
Chavez durante uno dei suoi comizi ha detto:''Perchè se gli imperialisti e i loro lacchè tenteranno di destabilizzare il Venezuela, se ne pentiranno per il resto della loro vita''.
La vittoria di Chavez è sicura anche per il bene del Venezuela e di tutto il sud-America.

[Marc0]

Venezuela:Rosales accetta sconfitta
Riconosce vittoria Hugo Chavez
(ANSA) - CARACAS, 4 DIC - Il candidato dell'opposizione nelle presidenziali venezuelane di ieri, Manuel Rosales, ha riconosciuto la vittoria di Hugo Chavez. ''Noi riconosciamo che oggi ci hanno battuto'' - ha detto Rosales dopo aver conosciuto i risultati ufficiali parziali del Consiglio nazionale elettorale (Cne) che lo davano sconfitto per circa 23 punti (61% a Chavez e 38% per lui con lo spoglio del 78% dei voti). Rosales ha aggiunto che non si ritirera' e che continuera' 'democraticamente' la lotta.

[Barbera]

Il presidente è stato confermato alla guida del paese a larghissima maggioranza
Nel primo comizio attacchi a George W. Bush e vittoria dedicata a Fidel Castro

Elezioni in Venezuela, trionfa Chavez
"Ora costruiamo una società socialista"

Il primo comizio di Chavez dopo il trionfo
CARACAS - Il presidente Hugo Chavez ha vinto senza discussioni le elezioni svoltesi ieri in Venezuela, assicurandosi la permanenza alla guida del Paese per altri sei anni, e proclamando che "ora comincia la costruzione di una società nuova, socialista, cristiana e bolivariana".

Dopo una giornata elettorale sostanzialmente tranquilla, ed agitatasi solo verso il finale, il Consiglio nazionale elettorale (Cne) ha diffuso un primo bollettino ufficiale, relativo al 78,31% dei voti scrutinati, che attribuiva a Chavez il 61,35% dei voti e al leader del centro-destra Manuel Rosales il 38,39%.
E' la prima volta nella storia del Venezuela che un presidente viene rieletto.

Poco dopo l'annuncio del Cne, una grande folla si è raccolta sotto il balcone del Palazzo di Miraflores da cui Chavez, in camicia rossa, si è affacciato per cantare 'Gloria al bravo pueblo' e annunciare l'avvento di "una nuova era, una nuova epoca che avrà come linea strategica l'espansione della rivoluzione bolivariana e della democrazia popolare verso il socialismo venezuelano, bolivariano".

Durante il suo intervento, durato oltre un'ora, Chavez ha detto: "Abbiamo vinto in tutti gli Stati" del Venezuela. Egli ha poi dedicato la vittoria "al presidente Fidel (Castro) e al valoroso popolo cubano". Subito dopo ha sostenuto che "questa è una sconfitta per Mister Danger e per El Diablo (il riferimento è al presidente americano George W. Bush, ndr) che pretende di dominare il mondo". Il Venezuela, ha proseguito, "non sarà mai una colonia nordamericana". Ed ha aggiunto: "Abbasso l'imperialismo!".

Tornando sul concetto di socialismo - ha detto - pensiamo ad "un sistema che sia segnato da uguaglianza, libertà e giustizia (parole che ha ripetuto più volte, ndr.)", di cui "nessuno deve avere paura". Il nostro, ha ancora detto, sarà "un socialismo originale, indigeno, cristiano e bolivariano". Infine Chavez ha detto che in questo suo nuovo mandato sguainerà "due spade: una per combattere la corruzione ed un'altra la burocrazia della pubblica amministrazione".

[Barbera]

Hugo Chavez a été triomphalement réélu au Venezuela avec plus de 60 % des voix

Au cri de "longue vie à la révolution", le président vénézuélien Hugo Chavez a proclamé dimanche 3 décembre sa victoire à l'élection présidentielle, après l'annonce de résultats officiels partiels le donnant largement en tête. A 52 ans, Chavez a facilement obtenu un troisième mandat, qui va lui donner les coudées franches pour poursuivre "la révolution bolivarienne" dont il s'est fait le chantre depuis son accession au pouvoir en 1998 et créer un front uni des dirigeants de gauche en Amérique latine afin de lutter contre "l'impérialisme" américain.

PRÈS DE 61 % DES VOIX



Ses détracteurs, au premier rang desquels les Etats-Unis dont il est devenu la nouvelle "bête noire" en Amérique latine, craignent que cette large victoire ne le conforte et qu'il gagne encore en influence dans la région, grâce notamment à la manne financière que représentent les revenus du pétrole. Le Conseil électoral national a annoncé qu'Hugo Chavez réunissait 61 % des voix, contre 38 % pour son adversaire, le gouverneur de la riche province pétrolifère de Zulia, Manuel Rosales, après dépouillement de 78 % des bulletins.

Vêtu d'un tee-shirt rouge, sa marque de fabrique, Chavez a célébré son triomphe en levant le poing et en chantant l'hymne national au balcon du palais présidentiel. L'ancien parachutiste, qui avait déjà traité par le passé le président américain George Bush d'"ne" et de "Monsieur Danger", l'a cette fois appelé "satan" dans un discours où il a dédié sa victoire à son mentor, le dirigeant cubain Fidel Castro."C'est une nouvelle défaite pour le diable qui veut dominer le monde", a-t-il déclaré devant des centaines de partisans.

Agitant le drapeau vénézuélien, ils scandaient "Chavez n'est pas parti", alors qu'un feu d'artifice illuminait le ciel. Des soldats manifestaient leur joie après la victoire de l'ancien parachutiste. "Nous reconnaissons qu'ils nous ont battus aujourd'hui mais nous continuerons le combat", a déclaré Mauel Rosales, le candidat de l'opposition.

Homme politique chevronné d'allure discrète, il avait réussi à refaire autour de son nom l'union d'une opposition restée un bon moment désarçonnée par sa défaite au référendum de 2004, au moyen duquel elle avait escompté écourter le mandat du président.

FEU D'ARTIFICE ET SALSA

Chavez, appelé "El Comandante" par ses partisans, a indiqué qu'il supprimerait les limitations de la durée du mandat présidentiel et qu'il créerait un parti unique s'il était réélu. Il souhaite également accrotre l'emprise de l'Etat sur le secteur pétrolier. Si ces résultats se confirment, Chavez réaliserait là sa meilleure performance en comparaison avec les scores qu'il avait obtenus en 1998 et en 2000.

Sa victoire triomphale confirme la progression de la vague rose en Amérique latine : il est le quatrième représentant de la gauche à être élu à la tête d'un pays latino-américain en l'espace de cinq semaines. Président charismatique et populaire, il est adulé des classes pauvres car il a consacré une bonne part de la manne pétrolière aux écoles, aux cliniques et à la distribution de nourriture.

Son adversaire, Manuel Rosales, un ancien éducateur père de dix enfants, a mené une campagne populiste et disciplinée axée sur les points faibles du dirigeant vénézuélien : le taux de criminalité et l'emprise de Chavez sur l'ensemble des institutions de l'Etat, à commencer par l'armée et la compagnie nationale pétrolière. Rosales est parvenu à unifier une opposition habituellement fragmentée et il a montré que Chavez était la bête noire d'une partie de la population, qui redoute l'imposition d'un régime communiste à la cubaine.

Alors que les Etats-Unis sont le principal client du pétrole vénézuélien, Chavez en a fait sa cible priviligiée, prenant le contre-pied des positions américaines sur pratiquement tous les sujets, depuis l'OPEP jusqu'aux ambitions nucléaires iraniennes. Des centaines de partisans du dirigeant cubain, dont le slogan de campagne était "rouge, vraiment rouge", se sont rassemblés dans un quartier branché de Caracas qui était devenu leur lieu de rassemblement pendant la campagne pour y danser la salsa."Le derrière de Rosales est devenu 'rouge, très rouge' après la correction qu'on lui a infligée", a déclaré Iraida Martinez, une infirmière de 39 ans.

[Barbera]

Chávez logra su tercer mandato en Venezuela tras vencer a Rosales



CARACAS.- Con un 78,31% de las actas escrutadas, Hugo Chávez obtenía el 61,35% de los votos validos frente al 38,39% de su principal rival, el gobernador del rico estado petrolero de Zulia, Manuel Rosales, anunció el Consejo Nacional Electoral (CNE) en un boletín parcial de resultados.

El presidente venezolano no ha tardado en celebrar su reelección. Pocos minutos después de conocer los resultados, Chávez saludó a miles de sus partidarios desde el llamado "balcón del pueblo" del palacio de Miraflores. Rodeado de sus ministros, cantó junto a la multitud el himno nacional de Venezuela, en medio de aplausos, petardos y gritos de alegría de sus seguidores.

"Allá esta Cristo con sus brazos abiertos, lo veo iluminado en esta noche de victoria y recuerdo una de sus palabras: 'todo está consumado', 'todo está consumado'. La gran victoria de la revolución bolivariana es la victoria del amor", dijo Chávez a sus seguidores.

El recién reelegido presidente venezolano afirmó ante miles de seguidores que "el socialismo es el reino del futuro venezolano". Además no quiso perder la oportunidad para dedicar su triunfo a su amigo y colega Fidel Castro y a todo el pueblo cubano. "Hermano, camarada, compañero, desde aquí un abrazo a Fidel y al pueblo solidario y hermano de Cuba", agregó.

Asimismo, pidió "que nadie le tenga miedo al socialismo" al hacer un llamamiento a "todos los sectores nacionales" a trabajar por el futuro de Venezuela.

Menos de una hora después, el candidato de la oposición, Manuel Rosales, ha reconocido la victoria del presidente. "Reconocemos que hoy nos vencieron", dijo Rosales, quien agregó que seguirá "luchando por la democracia y la libertad" en Venezuela.

"Hoy iniciamos la lucha por la construcción de un nuevo tiempo para Venezuela. Voy a seguir en la calle, luchando por el pueblo, por la democracia y la libertad. No es tiempo de rendirse, es tiempo de seguir luchando por la vida de los venezolanos y por nuestras ideas", manifestó el dirigente socialdemócrata.

Venezuela vivió este domingo una de las elecciones con mayor afluencia de votantes de su historia. Tanto, que muchos colegios permanecieron abiertos dos horas más del cierre oficial, lo que retrasó el escrutinio del CNE.

A primeras horas, en Caracas, las colas eran igualmente numerosas en las zonas de clase media y alta, donde Rosales cuenta con las mayores simpatías, como en las barriadas populares, en las se concentran los partidarios de Chávez.





Varios seguidores de Chávez celebran su triunfo en las calles de Caracas. (Foto: REUTERS)
Otra mala noticia para Washington
El triunfo del llamado 'Comandante', que se propone liberar a Latinoamérica del "yugo" estadounidense, es una mala noticia para Washington, que lo considera como una influencia negativa para el continente.

"Hoy le hemos dado otra lección de dignidad al imperio norteamericano, es otra derrota para el imperio de 'mister Danger'", resaltó Chávez, usando el sobrenombre con el que se suele referir al presidente George W. Bush.

Los contactos de Chávez con conflictivas naciones como Irán y Siria también crispan a la Casa Blanca, que en el último año tuvo que digerir las victorias electorales del izquierdista Evo Morales en Bolivia, del sandinista Daniel Ortega en Nicaragua y del nacionalista Rafael Correa en Ecuador.

Las dos Venezuelas
Venezuela ha vivido una de las elecciones presidenciales más polarizadas en su historia, con las capas más pobres de la población apoyando la "revolución socialista" de Chávez y los sectores de mayores ingresos respaldando el cambio de rumbo hacia lo que Rosales llama la "democracia social".

Más de 200 observadores internacionales de la Unión Europea, la Organización de Estados Americanos (OEA), el Centro Carter y Mercosur, a los que se han sumado decenas de entidades electorales de América Latina están en Venezuela para ver el proceso y emitir posteriormente una evaluación.

[Barbera]

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UN BEL PO' DI DATI....SU CHAVEZ E SUL SUO GOVERNO....ALLA FACCIAZZA DEGLI USA-E-GETTA E DI TUTTI I LORO COLPI DI STATO, DELLA LORO MAFIA E CORRUZIONE, DELLA LORO VOLONTA' DI AFFAMARE E AMMAZZARE CHIUNQUE NON SIA "DEMOCRATICO" COME LA LORO DEMOCRAZIA FAI-DA-TE CHE VOGLIONO ESPORTARE NEL MONDO!

DAL 2003 I "POVERI" SONO SCESI DAL 55,1% AL 33,9% DEL 2006...........I "POVERI ESTREMI SONO SCESI DAL 25,0% AL 10,6%




IL SALARIO PRO-CAPITE DEI VENEZUELANI E' SALITO DAL 2003 AL 2006 A QUASI IL DOPPIO!




LA DISOCCUPAZIONE E' SCESA DAL 19,2% DEL 2003 AL 9,6% DEL 2006 (DIMEZZATA!)

[Barbera]

SALARIO MINIMO NAZIONALE RADDOPPIATO E INFLAZIONE ANNUALE ACCUMULATA DIMEZZATA




NELLE ATTIVITA' PRODUTTIVE IL CONTRIBUTO AL PIL DERIVANTE DA ALTRE ATTIVITA' (ALTRE S'INTENDE NON PETROLIFERE) E' PASSATO DALL'8,1% DEL 2003 AL 16,6% DEL 2006.

[Barbera]

I DEBITI CANCELLATI AI PENSIONATI




SORPASSO DEI LAVORATORI "FORMALI" SUI LAVORATORI "INFORMALI"




STORICO DEBITI CANCELLATI AI PENSIONATI

[Barbera]

ENTRATE TRIBUTARIE TRIPLICATE PER L'AZZERAMENTO DELLA CORRUZIONE!!!!!!!!